Visite à la tour des cieux|| PV Haruka Schiffer

 

Tu étais très surprise de voir qu'elle se laissait faire. Tu t'attendais à ce qu'elle retire son poignet, mais étonnamment, elle te suivi sans rien dire. Tu franchi la porte de  sortie et tout de suite sentie l'air te frapper le visage. Pour un moment, tu étais contente d'avoir attacher tes cheveux, sinon la pauvre aurait surement reçu tes cheveux dans la figure. La température n'était pas à son meilleur aujourd'hui sur le territoire, mais ce n'était pas si grave. Après tout tu allais dans la cité centrale. D'après leur cycle, il devait faire assez beau. En tout cas, plus beau qu'ici. Quand tes yeux atterri sur le soleil, les rayons frappa tes rétines. Tu plissa tes yeux, mais les laissa ouvert. Il aurait été dommage de foncer dans quelqu'un.  

Pour le moment, tu décida de ne pas répondre. Tu te retourna la tête simplement et lui adressa un sourire. Tes affirmations étaient donc vrai. Elle ne sortait pas beaucoup. Tout le contraire de toi. Si elle savait le nombre de fois que tu sortais. Encore une semaine ou deux et tu pourrais faire une carte des six citées. Et cela sans aucunes erreur. Quel dommage qu'`s son âge, elle n'est pas visité les territoires. Chacune sont si spéciales. Toute différentes les une des autres. Même si tu ne l'avouerais pas au chef du clan des dragons, tu trouvais que son territoire était un des plus beau. Puis, après avoir dépasser plusieurs immeubles tu t'arrêta un moment juste pour lui dire.


Puis, tu continua de marcher. Tu avais le sourire aux lèvres. Deux raisons. Très simple. Tu pouvais sortir et pour une fois c'était, pour toi, une mission très importante. Puis deux : ça faisait un bout que tu n'étais pas retourné à la tour des cieux. Aussi, tu espérais que l'adolescente n'avais pas peur des hauteurs... Sinon adieu le magnifique paysage. Une quinzaine de minutes passèrent et tu était à la frontière de ton territoire. Encore un pas et tu étais dans le territoire des chevaux.


Ta voix n'étais pas menaçante. En fait, tu ne faisais que lui donner un simple avertissement. Si elle n'avais jamais sortis, elle ne connaissait peut-être pas les limites du terrain. Il faudra que tu prenne ça en note. Tout les membres devraient savoir les limites du clan pour éviter les problèmes. Tu continua de marcher, mais au lieu de te rendre directement à la tour, tu décida de prendre plusieurs détour. Bah quoi, il faut bien que tu prévois où sera ta prochaine 'sortie'.

Tu passa par plusieurs chemins sans t'arrêter. Tu ne disa pas un mot non plus. Tu préférais plutôt admirer la citée. Tout étais si calme ici. Surtout car le clan des chevaux est le plus pacifiste. Ce n'est pas exactement un clan que tu n'aime pas, mais ce n'est pas le clan que tu préfère. Par contre, le mécanisme des saisons qui changent t'intéressais beaucoup. Quand tu auras du temps, peut-être irais tu étudier sur le territoire. Tu aimais bien la saison de l'hiver, mais tu pourrais te passer de l'été. Tu te trouvais bien chanceuse en ce moment. La saison actuelle n'était pas l'été, mais plutôt le printemps. Et en bonus, il faisait beau !


Tu étais particulièrement contente de sa réponse, mais quel dommage que tu ne lui ai pas demander son nom. Tu passa par le studio où, tu pris un chemin que presque personne ne remarque. Il ressemblait à une ruelle. Mais contrairement à la ruelle, il y avait beaucoup d'espace. On ne s'y sentait pas enfermer. Le passage n'étais pas très long, mais il menait à plusieurs autre passage. C'était un peu comme un labyrinthe. Après tout, tout les murs se ressemblaient. Il n'y avait peut-être que la position des fenêtres et la couleur qui changeait. Au moins, tu connaissais le chemin par cœur. Tu pourrait même y aller les yeux fermer. Par contre, tu te retourna souvent la tête pour être sure que celle qui t'accompagnait ne se perdait pas.


La question était simple, mais très relative. Puisque tout dépendait sur quel chemin tu prendrais. Pendant un moment, tu hésitais entre aller directement à la tour ou continuer de marcher dans ce labyrinthe. Mais, tu pouvais remarquer qu'elle était un peu impatiente. Finalement, tu décida de ne plus la faire trop attendre. Alors, tu sortis des milles et un chemin et regarda droit devant toi. Il ne restait que quelque mètre avant d'être au pied de la tour. De où tu étais, tu pouvais voir quelques personnes sur des chevaux. Il était bien évident qu'ils faisaient partis du clan. Tant qu'il ne se passe rien, tout devrait aller pour le mieux. Espérons juste que le malheur ne frappe pas. Ce serait dommage de ruiner ta sortie.

Tu pris le temps de regarder la tour de toute sa splendeur... Et de toute sa hauteur. Tu pencha ta tête par l'arrière pour voir jusqu'ou montait la tour. Mais, elle était si haute que tu commençait à avoir mal au cou. Tu décida d'attendre ici quelques minutes pour être sure d'avoir assez d'énergie pour montée jusqu'en haut de la tour. Tu pris place sur un banc pas loin et fit signe à la fillette de s'approcher. Tu ferma les yeux une minute prenant le temps de respirer profondément.


Sa voix était basse pour être sure que personne ne l'entendre. Tu la regarda dans ses yeux, aussi bleu que l'océan, et tu pouvais déjà voir l'excitation dans ses yeux. Mais, il y avait aussi l'impatience de pouvoir monter et voir tout les paysages que la tour pouvait offrir. Tu pouvais presque tout voir dans son regard.


Y avait-il quelque chose à dire ? En fait, tout était dans le paysage. Par contre, il y a bien des choses que tu pourrais lui apprendre sur ce territoire. Ou plutôt sur toute les citées. Après tout, elles étaient toute si différentes. Et tu ne parlais pas que de la température. Aussi, le fait qu'elle en sache si peu sur les autre territoire t'inquiétais. Tu nota mentalement qu'il faudra s'assurer que tout le monde ait une connaissance générale des clans et de leur territoire.


Tu repris à nouveau le pas. Tu passa entre les deux hommes en les saluant d'un hochement de tête. Tu entra dans la tour qui était parsemée de millier de fenêtre. Tu te remémorais la première fois que tu étais venue ici. Quand tu vis les marches en colimaçons, tu avais déjà un mal de tête affreux. Même, que Toru t'avais obliger de monter les marches une par une sans une minute de repos. Tu avais envie de faire le même tour à la petite, mais tu décida de faire quelque d'autre.


Et te voilà, montant les marches comme dans le temps.